éditeur : Sega
PCJ 84, 69%
J’ai toujours voulu être un dieu, et là, j’y suis presque : je suis Pharaon. Je dirige mon village qui va bien vite devenir une ville, je signe des traités de commerce avec les villes de toute l’Egypte et j’embauche les prêtres pour soigner, prier et éduquer, des scribes afin de récolter mes impôts et surveiller les points de cargaisons, ainsi que des contremaîtres pour construire ma pyramide et mes bâtiments religieux.
Quelques longueurs gâchent parfois le plaisir (essayez donc de construire une grande pyramide...), mais l’ensemble reste plutôt bien rythmé (pour un city-builder). A souligner, l’originalité de ce jeu, la possibilité de zoomer au plus près ainsi que de suivre n’importe quel personnage du jeu. Malgré quelques bizarreries, comme les habitants qui marchent partout sauf sur les routes patiemment construites, ou des petits défauts, comme l’impossibilité de voir les désirs de la population, ce jeu est indispensable à tous les fans de city-builder ainsi qu’aux débutants, qui apprendront rapidement grâce à un didacticiel bien pensé.
Yannick B., 90%
PCJ répond : Chacun son truc. Ici, personne n’a jamais vraiment eu l’âme d’un pharaon. Pas même Ghislain, qui préfère décidément mener ses équipes de football à la victoire en Coupe d’Europe.