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Morrowind

samedi 13 mai 2006.


Éditeur : Ubisoft

PCJ 55, Note 96%

Dans la vie de tout joueur, il y a des moments de vraie magie. Avec Morrowind, c’est tout simplement le rêve de tout amateur de RPG qui est exaucé : un univers immense et varié, de vastes étendues sauvages, des dizaines de villes à plusieurs niveaux, regorgeant de souterrains sinistres. Ce sont des centaines de personnages à rencontrer, des milliers de créatures à combattre, un scénario complexe avec une multitude de quêtes, d’objets et de sorts à découvrir. L’imagination des créateurs est servie par une réalisation grandiose : les orages, la nuit étoilée, la lumière d’une torche sur le mur d’une hutte, le scintillement d’une armure, la pluie tombant sur les canaux de la capitale : tout est d’un réalisme impressionnant. Les premières heures de jeu sont une expérience ludique inoubliable. Une sensation totale de liberté, l’impression d’être immergé totalement dans un univers dont chaque détail a été parfaitement pensé ! Et pour achever de vous couper de toute vie sociale : il y a trois add-on excellents eux aussi !

Guillaume C., 99%

PC Jeux répond : Que dire de plus sur le dauphin toutes catégories du jeu de rôle en solo ? Un univers gigantesque, des quêtes comme s’il en pleuvait et une cohérence hors du commun ! Un jeu qui vous en fait prendre pour longtemps !

Morrowind

éditeur : Ubisoft

PCJ 55, Note 96%

Il pleuvait ce jour-là en Morrowind. J’avais pris le bateau jusqu’à Ebonheart et j’avais décidé de continuer ma route à pied. Ma mission était simple : débusquer une nécromancienne qui sévissait dans les parages. Arrivé en vue du village, je m’équipais en prévision d’un combat que je ne pourrais certainement pas éviter. Je me mis en quête de l’auberge pour me renseigner sur ma cible, on m’indiqua qu’elle se trouvait dans les environs. Je la trouvais en effet à l’étage, mes talents de voleur me permirent facilement de crocheter la serrure. J’entrai, ma cible était bien là. Le combat fut bref mais ma victime eut le temps d’appeler à l’aide ! Les gardes débarqueraient d’ici peu...

Il ne me restait qu’une solution : une porte de la chambre donnait sur un balcon, je la franchissait quand soudain... Quoi !

Dejà minuit ! Eh non, je ne suis pas en plein combat avec une nécromancienne, je suis simplement en train de jouer à Morrowind !

Killy, 95%

PCJ répond : N’ayons pas peur des mots, Morrowind fait partie désormais des grands classiques du jeu vidéo. Pourquoi ? Simplement parce que ce jeu a su faire fi des clichés et s’approprier un genre pour en redorer le blason. Du grand boulot !



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